C’est une question que l’on me pose souvent. La thérapie psychocorporelle considère l’être humain dans sa globalité. Dans ma pratique en cabinet à Thonon (74) et à Lausanne, j’allie un travail verbal et non-verbal, centré sur la personne, axé sur le corps, l'esprit et les émotions. J’articule cette forme de thérapie intégrative (globale) autour des thérapies brèves, la yogathérapie et le massage acupression. C’est une démarche parmi beaucoup d’autres au sein des thérapies psycho-corporelles. Cette pratique prend ses sources dans des approches millénaires mais aussi plus récentes.
Plusieurs fois millénaires, le yoga, la méditation, les massages, l’acupression, les liens psyché-organiques et l’énergétique sont des approches classiques en Asie, à la base des thérapies psycho-corporelles actuelles.
En Europe, l’histoire des approches psycho-corporelles est plus récente. Le précurseur est le psychiatre et psychanalyste autrichien W. Reich (élève de Freud), qui intégrait le corps dans la psychanalyse dans les années 40. Son travail est à la base de toutes les psychothérapies corporelles. Il a ainsi inspiré l’Analyse Bioénergétique d’A. Lowen et J. Pierrakos dans les années 50, la Psychologie Biodynamique de G. Boyesen à la fin des années 60 et la Psychothérapie Corporelle Intégrée de J. Rosenberg plus récemment.
La « névrose incorporée » de G. Boyesen rejoint l’aphorisme de l’Ayurveda : « Tout ce qui ne s’exprime pas s’imprime. » Chaque émotion, choc ou trauma, chaque frustration, chaque conflit interne a une résonance physiologique et psychologique. Une conséquence sur le corps et sur l’esprit. L’être humain incarne alors littéralement sa souffrance au plus profond de son corps. Pour libérer le corps, apaiser l’esprit et réciproquement, les thérapies psycho-corporelles proposent de nombreux outils.
Travail sur le corps par la libération musculaire et tissulaire, par le mouvement ; travail sur les émotions, les sensations et le psycho-péristaltisme ; travail de mise en situation et d’expérience de référence ; langage verbal, métaphorique et corporel ; sollicitation de l’inconscient ; régulation de la respiration, des états internes ; pleine conscience… sont quelques uns des outils que l’on retrouve dans ma démarche et les différentes approches de thérapies psycho-corporelles. Ils sont finalement accessoires. Le plus important restant l’expérience de changement positif. Aussi subtil soit-il. Car plutôt qu’un grand écart impossible, mieux vaut un petit pas accessible.
Plusieurs fois millénaires, le yoga, la méditation, les massages, l’acupression, les liens psyché-organiques et l’énergétique sont des approches classiques en Asie, à la base des thérapies psycho-corporelles actuelles.
En Europe, l’histoire des approches psycho-corporelles est plus récente. Le précurseur est le psychiatre et psychanalyste autrichien W. Reich (élève de Freud), qui intégrait le corps dans la psychanalyse dans les années 40. Son travail est à la base de toutes les psychothérapies corporelles. Il a ainsi inspiré l’Analyse Bioénergétique d’A. Lowen et J. Pierrakos dans les années 50, la Psychologie Biodynamique de G. Boyesen à la fin des années 60 et la Psychothérapie Corporelle Intégrée de J. Rosenberg plus récemment.
La « névrose incorporée » de G. Boyesen rejoint l’aphorisme de l’Ayurveda : « Tout ce qui ne s’exprime pas s’imprime. » Chaque émotion, choc ou trauma, chaque frustration, chaque conflit interne a une résonance physiologique et psychologique. Une conséquence sur le corps et sur l’esprit. L’être humain incarne alors littéralement sa souffrance au plus profond de son corps. Pour libérer le corps, apaiser l’esprit et réciproquement, les thérapies psycho-corporelles proposent de nombreux outils.
Travail sur le corps par la libération musculaire et tissulaire, par le mouvement ; travail sur les émotions, les sensations et le psycho-péristaltisme ; travail de mise en situation et d’expérience de référence ; langage verbal, métaphorique et corporel ; sollicitation de l’inconscient ; régulation de la respiration, des états internes ; pleine conscience… sont quelques uns des outils que l’on retrouve dans ma démarche et les différentes approches de thérapies psycho-corporelles. Ils sont finalement accessoires. Le plus important restant l’expérience de changement positif. Aussi subtil soit-il. Car plutôt qu’un grand écart impossible, mieux vaut un petit pas accessible.
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